photo Orchestre symphonique de la Garde républicaine et Chœur de l'armée française ­­­­­­­

Orchestre symphonique de la Garde républicaine et Chœur de l'armée française ­­­­­­­

Concert, Musique classique

Saint-Pierre-du-Mont - 40

Du 30/09/2018 à 17:00 au 30/09/2018 à 18:30

Dans le cadre de la Saison culturelle 2018-2019 L’Orchestre de la Garde Républicaine et le Choeur de l’Armée française se produisent régulièrement ensemble en France et à l’étranger, tant pour des prestations officielles, que pour les saisons musicales des grandes salles de concerts. Leurs[...]

photo Visite du Musée du Cardinal Verdier

Visite du Musée du Cardinal Verdier

Patrimoine - Culture, Mode

Lacroix-Barrez 12600

Du 01/07/2025 au 30/09/2026

Nichés dans la crypte de l'église, ce sont les objets, les riches vêtements sacerdotaux, les lettres et documents des moments forts qui ont ponctué la vie de ce cardinal bâtisseur, né petit berger à Lacroix-Barrez.  " Le cardinal bâtisseur " né le 19 février 1864 à Lacroix-Barrez, Jean VERDIER étudia au Séminaire de Rodez et entra en 1886 chez les Sulpiciens. Le 9 avril 1887, il fut ordonné prêtre et enseigna au Séminaire de Périgueux qu'il dirigea de 1898 à 1912\. De 1912 à 1920, il appartient à la Faculté de Théologie de Paris et fut supérieur du Séminaire des Carmes. Il fut nommé en 1923 chanoine honoraire de Notre-Dame de Paris et, de 1926 à 1929, dirigea sa congrégation en tant que supérieur général. En 1929, il fut nommé vicaire général du diocèse de Paris et protonotaire apostolique puis, la même année, archevêque de Paris. Le 16 décembre 1929, le Pape Pie XI le créa cardinal-prêtre attaché à l'église Santa Balbina. Comme légat, il représenta le pape à de nombreuses occasions en France et à l'étranger. En 1931, il lance l'oeuvre des Chantiers du Cardinal, construisant 110 églises dans Paris et en banlieue parisienne, mais aussi en France. Il mourut le 9 avril 1940[...]

photo Théâtre

Théâtre

Théâtre, Danse - Bal - Cabaret

Puch-d'Agenais 47160

Du 12/10/2024 au 12/10/2924

"L'Etranger" d'après Albert Camus. L’étranger, Meursault, mystérieux et anticonformiste, employé de bureau à Alger reçoit un télégramme qui lui apprend la mort de sa mère… Adaptation jouée et dansée. Un va et vient constant entre la beauté des chorégraphies et l’ennui profond éprouvé par Meursault, parfois entrecoupé de cris de révolte, pour redécouvrir toute la force poétique et la portée philosophique du roman d’Albert Camus, qui a remporté le prix Nobel en 1957. "En repensant à ce trio – le metteur en scène, l’acteur et son accompagnatrice – les mots qui me viennent sont « intelligence » et « générosité ». Avec quelques images très simples, ils font naître une grande émotion.” Agnès SPIQUEL . Présidente de la Société des Études Camusiennes